Suzanne

suzanne

« Nu de femme », 1921, marbre

Premier envoi de Rome en 1921.
Exposée dans la version « grand marbre blanc » au Salon des artistes français en 1922 et en 1925.
Acquise en 1926 par la ville de Paris pour le musée des Beaux-Arts (le Petit Palais).
Déposée en 1960 au musée d’Art moderne de la ville de Paris.

À la villa Médicis à Rome, le jeune sculpteur travaille aux premières ébauches de sa sculpture « Nu de femme » et fait poser Pompilia d’Aprile, modèle de Rodin en 1915.

Suzanne étude
Suzanne étude

Première étude en 1920.

Extrait de « Sous le ciel de Rome » d’Albert Besnard (Éditions de France – 1925)

Suzanne étude
Suzanne étude
Suzanne étude

Diverses études réalisées pendant son séjour à la villa Médicis firent évoluer l’attitude des premières recherches.

Suzanne étude atelier
Suzanne étude villa Medicis

Premières années à la Villa Médicis.
États divers de la « Suzanne ».

Suzanne étude

Dans son atelier : étude de la « Suzanne », esquisse de « David », et un détail de bas-relief du « Monument aux séminaristes morts en 14/18 ».

Reprise en plâtre dans les bosquets de la Villa Médicis.

Villa Médicis
Suzanne villa Médicis

« Suzanne » exposée à la villa Médicis, dans la salle réservée aux envois de Rome en 1920.

Suzanne

Extrait du journal « Le Monde Illustré » en mai 1922 :
« L’envoi de M. Raymond Delamarre, également remarquable, qui évoque une page d’Ingres, le mouvement, l’étude de cette “Suzanne”, sont évidement parmi les œuvres qui méritent d’être signalées à part… »

Extrait du journal « La Revue de la semaine » du 12 mai 1922 :
« Comment dire ce qu’un dos charmant, une attitude neuve et un peu précieuse donnent de grâce à la “Suzanne” de M. Delamarre ? La divine Pauline Borghèse semble être ressucitée exprès pour “poser” ce merveilleux morceau… »

Extrait du « Journal des arts » en juin 1922 :
« Un nu très pur de lignes par M. Delamarre… »

Extrait de la « Revue des Beaux-Arts » en juin 1922 :
« La “Suzanne” de M. Raymond Delamarre a été remarquée. Son fini est indéniable et d’une réelle distinction ; on éprouve néanmoins la sensation d’une recherche excessive dans la facture qui semble procéder par juxtaposition… Mais c’est ainsi que les statuaires grecs parvenaient à la perfection : ils empruntaient sa tête jolie à un modèle, ses seins marmoréens à un autre, ses bras délicats à un troisième… »

Suzanne
Suzanne bronze

Réduction – Édition limitée en bronze (5 à 6 exemplaires ?)
1925 par la maison d’édition Contenot
Hauteur : 31 cm
Fondeur inconnu

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